Après
un infarctus du myocarde, il est essentiel d’arrêter de fumer
dès que possible. Les patches et autres substituts sont une aide
essentielle, toujours indiqués, même à fortes doses. Le tabac est une catastrophe pour le cœur, on ne le dira jamais assez. Mais il est encore plus dangereux chez une personne qui vient de faire un infarctus du myocarde car celle-ci est exposée à une rechute. Il faut en effet savoir que chaque cigarette entraîne un spasme des artères coronaires, spasme qui peut être à l’origine d’un infarctus. Il faut donc arrêter de fumer au plus vite quand on vient de faire un tel infarctus et se poser la question de la dangerosité des patches et des autres substituts nicotiniques chez les patients fragilisés. Finalement, ne sont-ils pas aussi dangereux que les cigarettes elles-mêmes ? La réponse est clairement non : ils sont inoffensifs dès lors qu’ils contribuent au sevrage d’une habitude tabagique hautement à risque.
Ne pas avoir peur des écarts Enfin, il est essentiel de se faire suivre par un tabacologue ou par votre médecin de famille. Ce sont eux qui vous conseilleront pour les adaptations de doses de vos substituts nicotiniques. Leur aide est précieuse pour tenir le coup et passer le cap des trois premiers mois. Pensez également à vous faire supporter par votre entourage. Arrêter de fumer est à la mode, vous passerez pour un héros ! Sources
- Nicotine et cœur : vive les substituts !
Nous en parlions dans notre numéro d’hiver: la lipotomie AQP fait partie des techniques de pointe mises en œuvre actuellement pour lutter contre la cellulite incrustée. Elle corrige parfaitement les contours tels que les bourrelets sur les hanches, genoux, fesses, extérieur des cuisses (culotte de cheval) ou le ventre. De façon définitive.
Pourquoi définitive ? Les cellules graisseuses des zones à problèmes sont infiltrées au moyen d’un sérum physiologique hypotonique. Celui-ci traverse les aquaporines (ou AQP) qui sont les protéines membranaires formant les pores de la membrane biologique des cellules adipeuses. Résultat : elles se gorgent de liquide et… éclatent ! Les restes sont alors éliminés par voie normale, dans la circulation sanguine.
Les spécialistes European Clinics prennent les mesures avant la lipotomie et lors des contrôles postérieurs (après 15 jours et après 2 mois). Les résultats dépassent les espérances ! Les pertes démarrent à 2 centimètres et vont jusque 8 centimètres soit presque 2 tailles de vêtement. On note également, dans quasi tous les cas une amélioration de la qualité de la peau et une disparition « de la peau d’orange ». Il est encore un peu tôt pour se prononcer sur le caractère définitif de cette amélioration car la peau d’orange est fortement liée à une multitude de facteurs favorisant tels que fumer, ne pas pratiquer de sports, présenter un excès de poids, manger trop épicé, etc.
Rendez-vous
dans notre prochain numéro pour en savoir plus quant aux résultats
des premières études scientifiques menées sur le
sujet.
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Editorial L’actualité
ne prête pas à sourire. Néanmoins, nous avons voulu
vous faire partager nos joies, à travers les premiers résultats
de lipotomie, et nos curiosités dans le domaine de la santé. Bonne lecture ! L’équipe
des European Clinics
La Tuberculose, mal néo-européen L’entrée de dix nouveaux membres au sein de l’Union le 1er mai pourrait pousser nos laboratoires de recherche pharmaceutiques à sortir de leur torpeur, puisque la tuberculose ne sera plus une pathologie étrangère ou clandestine mais un mal néo-européen. Pour éviter une invasion de tuberculeux dès avant le 1er mai, les Etats modernes de la Baltique, confrontés comme nous mais à une échelle plus importante (candidats réfugiés et travailleurs clandestins en provenance de l’ex-bloc communiste) aux bacilles de Koch multiS et multiR, ont choisi d’envoyer des équipes médicales spécialisées... à l’Est, pour traiter le problème sur place, par une coopération bien comprise. A
la veille de la naissance de l’Europe des Vingt-Cinq, les demandeurs
d’asile politique et les travailleurs clandestins (prostituées,
entre autres) originaires de l’Est, ainsi que la foule des errants
(CRP, SDF) fuyant des régions d’Afrique et d’Asie où
la tuberculose est un mal courant, représentent une moitié
des cas traités dans la CEE. Des mois de soins dans l’isolement
sont indispensables pour éviter les contaminations. Régime : les hommes aussi Les hommes aussi veulent se débarrasser de leurs kilos superflus. Leur apparence est en jeu, mais également leur santé. Avant l’âge de trente ans, un homme sur six est trop gros. Et entre 30 et 40 ans, le surpoids touche un homme sur trois. Le mode de vie est en cause. On quitte le statut d’étudiant pour un travail plutôt sédentaire, on se marie, mange de bons petits plats familiaux, participe à des repas d’affaires, espace les sorties, pratique de moins en moins de sport, etc. Finalement, on grossit ! Le look n’est pas le seul à en pâtir. La santé est également en danger.
Chez l’homme, la graisse abdominale est la première à concentrer les kilos en trop. Or cette localisation entraîne une résistance à l’insuline et automatiquement plus de risques d’hypertension artérielle, de diabète et de maladies cardiovasculaires. Mais rassurez-vous messieurs, vous brûlez naturellement plus d’énergie que les femmes, rendant vos petits efforts rapidement plus efficaces.
Il faut noter également que la perte en poids est toujours plus aisée après une réduction des amas graissseux (lipotomie ou liposculpture) Globalement, deux types de régime sont possibles pour retrouver une silhouette svelte : le régime rapide (et non express) et le régime pleine forme. Après avis médical, l’un durera un à deux mois, l’autre, qui peut prendre le relais du premier, s’étalera davantage dans le temps afin de convenir à ceux qui veulent perdre du poids sans renoncer à se faire plaisir.
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